Démarches liées aux élections et à la citoyenneté

Recensement citoyen, inscription sur les listes électorales, remise de carte électorale, retrouvez l'essentiel des informations concernant les démarches liées aux élections et à la citoyenneté.

Voter aux élections

Fiche pratique

Congé de conversion

Vérifié le 01/05/2023 - Direction de l'information légale et administrative (Première ministre)

Le congé de conversion permet au salarié dont le licenciement économique est envisagé de bénéficier, sous conditions, d'actions destinées à favoriser son reclassement.

Le congé de conversion prévoit des actions destinées à favoriser le reclassement du salarié qui risque d'être licencié pour motif économique. Celui-ci peut bénéficier des mesures suivantes :

  • Soutien d'une structure d'aide au reclassement
  • Bilan d'évaluation
  • Actions de formation ou d'adaptation en vue d'une réinsertion professionnelle rapide

Le salarié peut bénéficier d'un congé de conversion dans les conditions suivantes :

  • Son emploi doit être supprimé dans le cadre d'un licenciement pour motif économique,
  • L'entreprise a signé avec l'État une convention de congé de conversion,
  • Il est volontaire pour y adhérer.

L'employeur fixe la durée du congé. Il dure au minimum 4 mois.

Le salarié perçoit une allocation de conversion au moins égale à 65 % de la rémunération brute moyenne des 12 derniers mois précédant l'entrée en congé.

Au minimum, le montant de l'allocation doit atteindre 9,79 € par heure, multipliée par la durée collective de travail fixée dans l'entreprise (soit 1 485,12 € si l'entreprise applique les 35 heures).

Pendant la durée du congé de conversion, le contrat de travail est suspendu. Le salarié est donc dispensé d'activité dans son entreprise pendant cette période.

Si le salarié n'a pas retrouvé un nouvel emploi durant le congé, l'employeur peut le licencier pour motif économique.

Besoin de vous inscrire ?

J'ai 18 ans

Fiche pratique

Congé de conversion

Vérifié le 01/05/2023 - Direction de l'information légale et administrative (Première ministre)

Le congé de conversion permet au salarié dont le licenciement économique est envisagé de bénéficier, sous conditions, d'actions destinées à favoriser son reclassement.

Le congé de conversion prévoit des actions destinées à favoriser le reclassement du salarié qui risque d'être licencié pour motif économique. Celui-ci peut bénéficier des mesures suivantes :

  • Soutien d'une structure d'aide au reclassement
  • Bilan d'évaluation
  • Actions de formation ou d'adaptation en vue d'une réinsertion professionnelle rapide

Le salarié peut bénéficier d'un congé de conversion dans les conditions suivantes :

  • Son emploi doit être supprimé dans le cadre d'un licenciement pour motif économique,
  • L'entreprise a signé avec l'État une convention de congé de conversion,
  • Il est volontaire pour y adhérer.

L'employeur fixe la durée du congé. Il dure au minimum 4 mois.

Le salarié perçoit une allocation de conversion au moins égale à 65 % de la rémunération brute moyenne des 12 derniers mois précédant l'entrée en congé.

Au minimum, le montant de l'allocation doit atteindre 9,79 € par heure, multipliée par la durée collective de travail fixée dans l'entreprise (soit 1 485,12 € si l'entreprise applique les 35 heures).

Pendant la durée du congé de conversion, le contrat de travail est suspendu. Le salarié est donc dispensé d'activité dans son entreprise pendant cette période.

Si le salarié n'a pas retrouvé un nouvel emploi durant le congé, l'employeur peut le licencier pour motif économique.

J'ai déménagé

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Congé de conversion

Vérifié le 01/05/2023 - Direction de l'information légale et administrative (Première ministre)

Le congé de conversion permet au salarié dont le licenciement économique est envisagé de bénéficier, sous conditions, d'actions destinées à favoriser son reclassement.

Le congé de conversion prévoit des actions destinées à favoriser le reclassement du salarié qui risque d'être licencié pour motif économique. Celui-ci peut bénéficier des mesures suivantes :

  • Soutien d'une structure d'aide au reclassement
  • Bilan d'évaluation
  • Actions de formation ou d'adaptation en vue d'une réinsertion professionnelle rapide

Le salarié peut bénéficier d'un congé de conversion dans les conditions suivantes :

  • Son emploi doit être supprimé dans le cadre d'un licenciement pour motif économique,
  • L'entreprise a signé avec l'État une convention de congé de conversion,
  • Il est volontaire pour y adhérer.

L'employeur fixe la durée du congé. Il dure au minimum 4 mois.

Le salarié perçoit une allocation de conversion au moins égale à 65 % de la rémunération brute moyenne des 12 derniers mois précédant l'entrée en congé.

Au minimum, le montant de l'allocation doit atteindre 9,79 € par heure, multipliée par la durée collective de travail fixée dans l'entreprise (soit 1 485,12 € si l'entreprise applique les 35 heures).

Pendant la durée du congé de conversion, le contrat de travail est suspendu. Le salarié est donc dispensé d'activité dans son entreprise pendant cette période.

Si le salarié n'a pas retrouvé un nouvel emploi durant le congé, l'employeur peut le licencier pour motif économique.

J'ai acquis la nationalité française

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Le congé de conversion permet au salarié dont le licenciement économique est envisagé de bénéficier, sous conditions, d'actions destinées à favoriser son reclassement.

Le congé de conversion prévoit des actions destinées à favoriser le reclassement du salarié qui risque d'être licencié pour motif économique. Celui-ci peut bénéficier des mesures suivantes :

  • Soutien d'une structure d'aide au reclassement
  • Bilan d'évaluation
  • Actions de formation ou d'adaptation en vue d'une réinsertion professionnelle rapide

Le salarié peut bénéficier d'un congé de conversion dans les conditions suivantes :

  • Son emploi doit être supprimé dans le cadre d'un licenciement pour motif économique,
  • L'entreprise a signé avec l'État une convention de congé de conversion,
  • Il est volontaire pour y adhérer.

L'employeur fixe la durée du congé. Il dure au minimum 4 mois.

Le salarié perçoit une allocation de conversion au moins égale à 65 % de la rémunération brute moyenne des 12 derniers mois précédant l'entrée en congé.

Au minimum, le montant de l'allocation doit atteindre 9,79 € par heure, multipliée par la durée collective de travail fixée dans l'entreprise (soit 1 485,12 € si l'entreprise applique les 35 heures).

Pendant la durée du congé de conversion, le contrat de travail est suspendu. Le salarié est donc dispensé d'activité dans son entreprise pendant cette période.

Si le salarié n'a pas retrouvé un nouvel emploi durant le congé, l'employeur peut le licencier pour motif économique.

Questions fréquentes

Puis-je voter l'année de mon inscription ?

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Congé de conversion

Vérifié le 01/05/2023 - Direction de l'information légale et administrative (Première ministre)

Le congé de conversion permet au salarié dont le licenciement économique est envisagé de bénéficier, sous conditions, d'actions destinées à favoriser son reclassement.

Le congé de conversion prévoit des actions destinées à favoriser le reclassement du salarié qui risque d'être licencié pour motif économique. Celui-ci peut bénéficier des mesures suivantes :

  • Soutien d'une structure d'aide au reclassement
  • Bilan d'évaluation
  • Actions de formation ou d'adaptation en vue d'une réinsertion professionnelle rapide

Le salarié peut bénéficier d'un congé de conversion dans les conditions suivantes :

  • Son emploi doit être supprimé dans le cadre d'un licenciement pour motif économique,
  • L'entreprise a signé avec l'État une convention de congé de conversion,
  • Il est volontaire pour y adhérer.

L'employeur fixe la durée du congé. Il dure au minimum 4 mois.

Le salarié perçoit une allocation de conversion au moins égale à 65 % de la rémunération brute moyenne des 12 derniers mois précédant l'entrée en congé.

Au minimum, le montant de l'allocation doit atteindre 9,79 € par heure, multipliée par la durée collective de travail fixée dans l'entreprise (soit 1 485,12 € si l'entreprise applique les 35 heures).

Pendant la durée du congé de conversion, le contrat de travail est suspendu. Le salarié est donc dispensé d'activité dans son entreprise pendant cette période.

Si le salarié n'a pas retrouvé un nouvel emploi durant le congé, l'employeur peut le licencier pour motif économique.

Quel justificatif de domicile pour s'inscrire sur les listes électorales ?

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Le congé de conversion permet au salarié dont le licenciement économique est envisagé de bénéficier, sous conditions, d'actions destinées à favoriser son reclassement.

Le congé de conversion prévoit des actions destinées à favoriser le reclassement du salarié qui risque d'être licencié pour motif économique. Celui-ci peut bénéficier des mesures suivantes :

  • Soutien d'une structure d'aide au reclassement
  • Bilan d'évaluation
  • Actions de formation ou d'adaptation en vue d'une réinsertion professionnelle rapide

Le salarié peut bénéficier d'un congé de conversion dans les conditions suivantes :

  • Son emploi doit être supprimé dans le cadre d'un licenciement pour motif économique,
  • L'entreprise a signé avec l'État une convention de congé de conversion,
  • Il est volontaire pour y adhérer.

L'employeur fixe la durée du congé. Il dure au minimum 4 mois.

Le salarié perçoit une allocation de conversion au moins égale à 65 % de la rémunération brute moyenne des 12 derniers mois précédant l'entrée en congé.

Au minimum, le montant de l'allocation doit atteindre 9,79 € par heure, multipliée par la durée collective de travail fixée dans l'entreprise (soit 1 485,12 € si l'entreprise applique les 35 heures).

Pendant la durée du congé de conversion, le contrat de travail est suspendu. Le salarié est donc dispensé d'activité dans son entreprise pendant cette période.

Si le salarié n'a pas retrouvé un nouvel emploi durant le congé, l'employeur peut le licencier pour motif économique.

Cérémonie de citoyenneté

La commune organise une cérémonie de citoyenneté pour les habitants qui voteront pour la première fois dans l’année (jeunes majeurs, personnes ayant acquis la nationalité française). Cette cérémonie se déroule quelques mois avant les élections.

Elle est l’occasion de remettre un livret du citoyen, la carte électorale aux nouveaux votants et d’échanger avec ces nouveaux citoyens locoalo-mendonnais.

16 ans : l'âge du recensement citoyen

Fiche pratique

Congé de conversion

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Le congé de conversion permet au salarié dont le licenciement économique est envisagé de bénéficier, sous conditions, d'actions destinées à favoriser son reclassement.

Le congé de conversion prévoit des actions destinées à favoriser le reclassement du salarié qui risque d'être licencié pour motif économique. Celui-ci peut bénéficier des mesures suivantes :

  • Soutien d'une structure d'aide au reclassement
  • Bilan d'évaluation
  • Actions de formation ou d'adaptation en vue d'une réinsertion professionnelle rapide

Le salarié peut bénéficier d'un congé de conversion dans les conditions suivantes :

  • Son emploi doit être supprimé dans le cadre d'un licenciement pour motif économique,
  • L'entreprise a signé avec l'État une convention de congé de conversion,
  • Il est volontaire pour y adhérer.

L'employeur fixe la durée du congé. Il dure au minimum 4 mois.

Le salarié perçoit une allocation de conversion au moins égale à 65 % de la rémunération brute moyenne des 12 derniers mois précédant l'entrée en congé.

Au minimum, le montant de l'allocation doit atteindre 9,79 € par heure, multipliée par la durée collective de travail fixée dans l'entreprise (soit 1 485,12 € si l'entreprise applique les 35 heures).

Pendant la durée du congé de conversion, le contrat de travail est suspendu. Le salarié est donc dispensé d'activité dans son entreprise pendant cette période.

Si le salarié n'a pas retrouvé un nouvel emploi durant le congé, l'employeur peut le licencier pour motif économique.